Heigh Ho ! Heigh Ho ! Y pas que le boulot !
Nidavellir, le Royaume des Nains et des Naines, est menacé par le dragon Fafnir. Celui-ci menace de tuer tout le monde, pire de voler tout l’or du Royaume ! En tant que vénérable Elvaland, vous avez été mandaté·e·s par le Roi. Sillonnez chaque taverne du royaume, engagez les nain·e·s les plus habiles, recrutez les héro·ïne·s les plus prestigieux·euses et constituez le bataillon le plus à même de vaincre votre ennemi mortel ! A chaque tour, misez une pièce sur chaque taverne. Dans le sens décroissant, choisissez un personnage et intégrez le à votre armée. Chaque Classe de Nain·e·s possède une façon de « scorer » qui lui est propre : Forgeron·ne, Chasseur·euse, Guerrier·ère, Explorateur·rice et Mineur·euse. Un recrutement méticuleux vous permettra d’attirer un·e puissant·e Héros·ine dans votre armée.
Vous aurez également la possibilité d’augmenter la valeur de vos pièces d’Or via un ingénieux système de « Coin Building », et donc de prendre l’avantage sur les autres Elvalands.
Faites le tour des tavernes et recrutez l’armée de nain.e.s la plus puissante, plus puissante que celles de vos adversaires en tout cas !
Voici l’avis de gusandco.net :
Nidavellir mélange plusieurs mécaniques bien connues :
- Programmation : en début de manche, on sort des cartes qu’on place visibles sur la table. On les répartit dans trois sections. On va ensuite choisir parmi ses pièces laquelle on va placer pour essayer d’obtenir telle ou telle carte dans telle ou telle section. Programmation, donc
- Enchères secrètes : selon la valeur de la pièce choisie, on va essayer de se positionner en première position, ou pas. Enchères secrètes, ou pari
- Collection : après révélation de chaque pièce pour chaque section de cartes, dans l’ordre des valeurs des pièces jouées, programmées en secret, on obtient une carte que l’on place près de son plateau. Chaque couleur de carte correspond à une classe spécifique : chasseur.se, guerrier ou guerrière, artisan.e
- Deck-building (que le jeu nomme… Coin-Building), Engine-building : tout au long de la partie on peut peu à peu améliorer la valeur de ses pièces. Comme tout deck-building, on commence le jeu avec des pièces toutes… pourries, puis on va pouvoir les améliorer, en acquérir de meilleures. Du pur Engine-Building, donc, puisque avec ces nouvelles pièces on va pouvoir acquérir de « meilleures » cartes lors des enchères secrètes. Et quand on dit « meilleures », tout dépend bien sûr de sa collection de cartes et de ses besoins stratégiques
Au final, Nidavellir mélange plusieurs mécaniques connues. Les règles s’expliquent en quelques minutes, en insistant sur les différentes phases du jeu : prog, révélation, acquisition
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